Indice des prix des logements anciens – Année 2023

  1. Variation des prix des logements anciens en France (hors Mayotte)

 

Variation trimestrielle

Variation mensuelle

Ensemble

– 0,2 %

+ 2,7 %

Appartements

– 0,1 %

+ 2,2 %

Maison

– 0,3 %

+ 3,1 %

 

  1. Variation des prix des logements anciens selon leur localisation

 

Variation trimestrielle

Variation mensuelle

France métropolitaine

– 0,2 %

+ 2,7 %

Île-de-France

– 1,1 %

– 0,6 %

Province

+ 0,1 %

+ 3,9 %

  • Auvergne-Rhône-Alpes

– 0,2 %

+ 3,1 %

  • Hauts-de-France

– 0,8 %

+ 0,9 %

  • Provence-Alpes-Côte d’Azur

+ 0,3 %

+ 5,8 %

 

Appartements

– 0,1 %

+ 2,1 %

Île-de-France

– 1,1 %

– 1,2 %

  • Paris

– 1,2 %

– 2,0 %

  • Petite Couronne

– 1,4 %

– 1,4 %

  • Grande Couronne

+ 0,0 %

+ 1,0 %

Province

+ 0,6 %

+ 4,7 %

  • Agglo > 10 000 hab.

+ 0,6 %

+ 4,5 %

Villes-centres

+ 0,5 %

+ 4,3 %

Banlieues

+ 0,8 %

+ 4,8 %

  • Agglo < 10 000 hab. et rural

+ 1,1 %

+ 6,4 %

  • Auvergne-Rhône-Alpes

+ 0,3 %

+ 3,2 %

Lyon

– 1,6 %

– 1,9 %

  • Hauts-de-France

+ 1,4 %

+ 4,5 %

  • Provence-Alpes-Côte d’Azur

+ 0,9 %

+ 6,3 %

Maisons

– 0,2 %

+ 3,1 %

Île-de-France

– 1,0 %

+ 0,9 %

  • Petite Couronne

– 0,3 %

+ 0,6 %

  • Grande Couronne

– 1,4 %

+ 1,0 %

Province

– 0,1 %

+ 3,5 %

  • Auvergne-Rhône-Alpes

– 0,5 %

+ 3,1 %

  • Hauts-de-France

– 1,2 %

+ 0,2 %

Lille Agglomération

– 0,5 %

– 0,2 %

  • Provence-Alpes-Côte d’Azur

– 0,3 %

+ 5,3 %

Source : 

Indice de la production de films, d’enregistrements sonores et dans l’édition musicale – Année 2023

Indice de la production de films, d’enregistrements sonore et dans l’édition musicale (référence 100 en 2015)

Période

Indice

Variation mensuelle

Décembre 2023

 

 

Novembre 2023

 

 

Octobre 2023

 

 

Septembre 2023

 

 

Août 2023

 

 

Juillet 2023

 

 

Juin 2023

 

 

Mai 2023

 

 

Avril 2023

 

 

Mars 2023

130,2

1,5

Février 2023

128,1

3,5

Janvier 2023

124,0

2,1

Source : 

Indice de la fréquentation touristique des hébergements collectifs touristiques – Année 2023

Indice de la fréquentation touristique des hébergements collectifs touristiques (référence 100 en 2015)

Période

Nuitées du trimestre (en millions)

Variation annuelle (en %)*

4e trimestre 2022

 

 

3e trimestre 2022

 

 

2e trimestre 2022

 

 

1er trimestre 2022

22,0

+1,6

* données définitives jusqu’en février 2023, provisoires pour mars 2023.

Source : 

Indice de la fréquentation touristique des hôtels – Année 2023

Indice de la fréquentation touristique des hébergements collectifs touristiques (référence 100 en 2015)

Période

Nuitées du trimestre (en millions)

Variation annuelle par rapport (en %)

4e trimestre 2023

 

 

3e trimestre 2023

 

 

2e trimestre 2023

 

 

1er trimestre 2023*

42,6

+19,2

* données définitives jusqu’en février 2023, provisoires pour mars 2023.

 

Source : 

Frais supplémentaires de repas – année 2023

Frais de repas

Montant

Valeur du repas pris à domicile

5,20 € TTC

Montant au-delà duquel la valeur du repas n’est plus considérée comme raisonnable

20,20 € TTC

1/ Bénéfices industriels et commerciaux

Par principe, les frais supplémentaires de repas sont déductibles du résultat imposable, pour les titulaires de bénéfices industriels et commerciaux, dès lors qu’ils sont nécessités par l’exercice de la profession, justifiés et d’un montant raisonnable.

Seuls les frais supplémentaires de repas sont réputés nécessités par l’exercice de la profession : la fraction de la dépense qui correspond aux frais que vous auriez engagés si vous aviez pris votre repas à votre domicile constitue une dépense d’ordre personnel qui ne peut être prise en compte pour la détermination du bénéfice imposable. Pour les exercices clos en 2023, le prix du repas à domicile est fixé forfaitairement à 5,20 € pour un repas (montant TTC).

Exemple : un commerçant dont le magasin et le domicile sont situés sur la même commune effectue un déplacement l’obligeant à exposer des frais de restaurant pour un montant de 15,90 €, régulièrement justifiés. Les frais qu’il peut déduire s’élèvent à 15,90 € – 5,20 € = 10,70 €.

Par ailleurs, le repas pris en dehors du domicile doit avoir un coût raisonnable sous peine de ne plus être considéré comme une dépense professionnelle. Pour apprécier ce montant, sera considéré comme raisonnable un repas dont le prix n’excède pas la limite d’exonération des indemnités pour frais de repas retenue lorsqu’un salarié est en déplacement professionnel et empêché de regagner sa résidence ou le lieu habituel de son travail, soit 20,20 € pour l’année 2023 (montant TTC). La fraction qui excède ce seuil constitue une dépense d’ordre personnel qui ne peut être admise en déduction, à moins de justifier ce dépassement par des circonstances exceptionnelles nécessaires pour l’exercice de l’activité ou de démontrer qu’il n’existe pas de possibilité de déjeuner à moindre coût dans les environs.

Exemple : si, dans l’exemple précédent, les frais supplémentaires de repas s’élèvent à 25 €, les frais de repas déductibles s’élèvent, par principe, à 20,20 € – 5,20 € = 15 €.

2/ Bénéfices non commerciaux

Les frais supplémentaires de repas exposés régulièrement sur les lieux d’exercice de leur activité professionnelle par les titulaires de bénéfices non commerciaux sont considérés, sous certaines conditions, comme des dépenses nécessitées par l’exercice de la profession et sont donc pris en compte pour la détermination du bénéfice non commercial imposable. Pour cela, les dépenses exposées doivent résulter de l’exercice normal de la profession et non de convenances personnelles et correspondre à une charge effective et justifiée.

Seuls les frais supplémentaires de repas sont réputés nécessités par l’exercice de la profession : la fraction de la dépense qui correspond aux frais que vous auriez engagés si vous aviez pris votre repas à votre domicile constitue une dépense d’ordre personnel qui ne peut être prise en compte pour la détermination du bénéfice imposable. Pour les exercices clos en 2023, le prix du repas à domicile est fixé forfaitairement à 5,20 € pour un repas (montant TTC).

Le coût du repas pris en dehors du domicile ne doit pas être anormalement élevé, auquel cas la dépense présenterait un caractère exagéré. A titre de règle pratique, il faut considérer comme normaux les frais supplémentaires de repas lorsque la dépense payée n’excède pas la limite d’exonération des indemnités pour frais de repas retenue lorsqu’un salarié est en déplacement professionnel et empêché de regagner sa résidence ou le lieu habituel de son travail. En cas de dépassement de ce montant, vous devez, pour pouvoir déduire la totalité des frais supplémentaires de repas, être en mesure de justifier de circonstances exceptionnelles, notamment au regard des nécessités de votre activité et des possibilités de restauration offertes à proximité de votre lieu d’activité, justifiant l’engagement d’une dépense plus élevée. A défaut, la différence constatée entre la dépense payée et la limite au-delà de laquelle la dépense est considérée comme excessive constitue une dépense d’ordre personnel qui ne peut être admise en déduction pour la détermination du bénéfice imposable.

Le montant déductible des frais supplémentaires de repas exposés par les titulaires de bénéfices non commerciaux correspond donc à la différence existant entre :

  • le montant forfaitaire représentatif de la valeur du repas pris à domicile, fixé à 5,20 € TTC pour l’année 2023 ;
  • et la limite d’exonération des indemnités pour frais de repas retenue lorsqu’un salarié est en déplacement professionnel et empêché de regagner sa résidence ou le lieu habituel de son travail, fixée à 20,20 € TTC pour l’année 2023.

Exemple : un architecte dont le cabinet et le domicile sont situés sur la même commune se rend sur un chantier dans un autre département. Il expose à cette occasion des frais de restaurant d’un montant de 25 €, dûment justifiés. Les frais qu’il peut déduire s’élèvent donc, par principe, à 20,20 € – 5,20 € = 15 €.

Source : 

Taux de la taxe sur les salaires pour 2023

Pour la métropole :

Rémunération brute annuelle

Taux applicable

 

Inférieure ou égale à 8 133 €

 

 

4,25 %

 

Supérieure à 8 133 €et inférieure ou égale à 16 237 €

 

 

8,50 %

 

Supérieure à 16 237 €

 

 

13,60 %

Pour l’outre-mer :

Départements d’outre-mer

Taux applicable

 

Guadeloupe

Martinique

Réunion

 

 

 

2,95 % (au lieu de 4,25 %)

 

Guyane

Mayotte

 

 

2,55 % (au lieu de 4,25 %)

 

Source : 

Taux des droits d’enregistrement en matière de vente immobilière – barème 2023

1/ Taux de droit commun : en principe, le taux de droit commun est de 5,70 % dans la plupart des départements.

Il se décompose de la façon suivante :

Nature de la taxation

Taux

Droit départemental

4,50 % sauf dans l’Indre, Mayotte et le Morbihan où le taux est de 3,80 % **

Taxe communale additionnelle

1,20 %

Prélèvement pour frais d’assiette et de recouvrement

2,37 %***

** En principe, le taux du droit départemental est fixé à 3,80 %, mais la Loi permet aux départements de le moduler à la hausse (taux maximum 4,50 %) ou à la baisse (taux minimum 1,20 %).

***Ce prélèvement est calculé sur le montant du droit départemental.

2/ Taux réduit :

Nature de la taxation

Taux

Droit départemental

0,70 %

Prélèvement pour frais d’assiette et de recouvrement du droit départemental

2,14 %***

***Ce prélèvement est calculé sur le montant du droit départemental.

3 / Taxe additionnelle sur les ventes de bureaux en Ile de France : le taux est de 0,6 %.

Attention : il existe un certain nombre de ventes immobilières bénéficiant d’un régime de faveur.

Source :