Impôt sur le revenu : en cas de retard de paiement…

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Par principe, si vous payez avec retard votre cotisation d’impôt sur le revenu, vous serez soumis à une majoration de 10 %. C’est justement ce qu’il vient d’arriver à un dirigeant, même s’il a tenté de se défendre…

Paiement tardif de l’impôt sur le revenu : remise gracieuse possible

Un dirigeant a vendu les parts de son entreprise et a dégagé, dans le cadre de cette opération, une plus-value importante qui a été soumise à l’impôt sur le revenu.

Il reçoit donc un avis d’imposition, à régler au plus tard le 15 novembre, mais en octobre, il décide de contester le montant qui lui est réclamé.

Parce qu’il n’a pas demandé le sursis de paiement dans sa réclamation et que la date limite de paiement a été dépassée, l’administration lui a appliqué une majoration pour retard de paiement de 10 %.

Entre temps, l’administration admet partiellement ses arguments et décide de lui accorder un dégrèvement. Satisfait, le dirigeant règle donc le solde de l’impôt sur le revenu restant dû à l’issue de la procédure, près de 2 ans plus tard.

L’administration lui réclame cependant toujours la majoration de 10 % pour paiement tardif pour laquelle le dirigeant va demander la remise gracieuse, mais que l’administration fiscale va lui refuser.

Ce que le dirigeant conteste : faisant aussi valoir l’absence de manquements à ses obligations fiscales par le passé, il rappelle qu’au vu des échanges avec l’administration qui a partiellement admis ses arguments, il pensait légitimement qu’aucune pénalité ne lui serait infligée, pénalité au demeurant disproportionnée estime-t-il…

En vain, puisque le juge rappelle qu’une décision de l’administration refusant une remise gracieuse ne peut être annulée que si elle est entachée d’incompétence, d’erreur de droit, d’erreur de fait, d’erreur manifeste d’appréciation. Ce qui n’est pas le cas ici…

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Chèque énergie : départ de la campagne d’envoi

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5,6 millions : c’est le nombre de ménages éligibles au chèque énergie ! La campagne d’envoi a débuté le 21 avril et se terminera le 30 mai 2023. Elle concerne tous les Français…mais pas tous en même temps ! Si les habitants du Pas-de-Calais devraient déjà l’avoir reçu, ceux du Jura, des Vosges ou encore de la Haute-Savoie le recevront bientôt tandis que la région PACA devra patienter encore un peu… Revue de détails.

Chèque énergie : une campagne d’envoi de 7 semaines

Depuis le 21 avril et jusqu’au 30 mai 2023, les chèques énergies, d’un montant moyen de 148,60 €, seront envoyés sur tout le territoire. La distribution se fait en fonction des régions et départements de France, selon un calendrier disponible ici.

Pour recevoir cette aide, aucune démarche n’est nécessaire : les ménages éligibles sont identifiés grâce à leur déclaration de revenus.

Notez que si vous avez choisi l’année dernière la pré-affectation de votre chèque, c’est-à-dire que vous avez choisi de l’attribuer automatiquement à votre fournisseur de gaz ou d’électricité, il en sera de même cette année. Vous recevrez non pas un chèque, mais une confirmation entre le 28 avril et le 6 mai et vous verrez la déduction directement sur votre facture d’énergie.

Notez enfin que tous les professionnels d’électricité, de gaz et de combustibles de chauffage sont dans l’obligation d’accepter ce chèque, utilisable jusqu’au 31 mars 2024.

Envoi des chèques énergies : prêts ? Partez ! – © Copyright WebLex

Titres de sociétés en liquidation : sans valeur mais pas sans solution !

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Le médiateur de l’Autorité des marchés financiers (AMF) intervient directement auprès des investisseurs qui rencontrent des difficultés avec leurs placements. Dans une publication récente, il a décidé d’apporter quelques éclairages sur une problématique récurrente : les blocages occasionnés par des titres de société dont la valeur est nulle…

Des rappels utiles du médiateur !

L’autorité des marchés financiers (AMF) est l’autorité administrative chargée de la régulation des places financières et de la protection des droits des investisseurs en France.

Pour mener à bien cette mission, elle nomme en son sein un médiateur chargé d’accompagner les investisseurs rencontrant des difficultés.

Dans un dossier faisant état de son action, le médiateur a décidé d’évoquer une problématique rencontrée fréquemment dans l’exercice de sa mission : les titres de société sans valeur.

Cette situation peut se produire lorsqu’une procédure de liquidation judiciaire est ouverte à l’encontre d’une société émettrice de titres. À ce moment, la valeur de ses titres devient nulle et ils demeureront ainsi dans le portefeuille des investisseurs jusqu’à l’issue de la procédure de liquidation où ils seront supprimés.

Cela peut créer des blocages pour les investisseurs possédant de tels titres sur des comptes-titres ou des plans d’épargne en actions, les sociétés tenant ces comptes refusant alors tout mouvement sur ces derniers.

Une problématique importante étant donné que la procédure de liquidation judiciaire peut trainer en longueur sur plusieurs années…

Le médiateur rappelle qu’il existe plusieurs attitudes possibles face à ce type de situations et pour chacune, il détaille les avantages et les inconvénients. Ces solutions sont :

  • la conservation des titres en portefeuille ;
  • le désistement ou l’abandon volontaire des titres par le client ;
  • la cession pour 1 € symbolique au teneur de compte ;
  • la conservation des titres au nominatif.

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Cautionnement et caution hypothécaire : chacun ses règles !

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Le cautionnement et la sûreté réelle pour autrui, ou « cautionnement hypothécaire », consistent à faire garantir la dette d’une personne par un tiers. Ces sûretés obéissent à des règles et à des logiques différentes. Mais lorsque le garant s’est engagé sur les 2 dispositifs, peut-on appliquer les règles du cautionnement à la sûreté réelle pour autrui ? Oui pour le garant, non pour le créancier… Qu’en dit le juge ?

La disproportion de l’engagement ne s’applique pas à la caution hypothécaire ! 

Une société agricole obtient un prêt, garanti par un tiers, ici un couple marié. La banque leur demande 2 garanties : 

  • un cautionnement ;
  • l’affectation hypothécaire de certaines de leurs parcelles. 

Autrement dit, la banque, en cas d’impayés de la société, a 2 solutions possibles : 

  • soit elle demande directement au couple le remboursement des sommes dues en activant l’engagement de caution, qui est une sûreté personnelle, c’est-à-dire un engagement de rembourser la dette d’autrui ; 
  • soit elle saisit et fait vendre les parcelles et se rembourse sur le prix de vente : on parle alors de sûreté réelle pour autrui ou de caution hypothécaire. 

La société agricole est mise en liquidation judiciaire. La banque se tourne donc vers le couple garant et engage la procédure de saisie des parcelles affectées en garantie du prêt. 

« Impossible ! », selon le couple qui soutient que leurs engagements sont manifestement disproportionnés à leurs biens et revenus… 

Problème : cette notion d’engagement manifestement disproportionné, qui permet en effet de protéger la caution, s’applique… au cautionnement ! 

Or ici, comme le souligne la banque, il n’est pas question du cautionnement, mais de vendre les parcelles hypothéquées… ce qui change tout ! 

« Ce qui ne change rien », rétorque le couple : parce qu’il a consenti un cautionnement ET une sûreté réelle pour autrui, les règles du cautionnement lui sont applicables. 

« Faux ! », tranche le juge qui donne raison à la banque. Peu importe que le couple garantisse la dette par une sûreté personnelle et une sûreté réelle, les règles du cautionnement s’appliquent uniquement à cette garantie et non à la caution hypothécaire. 

Parce qu’ici la banque ne déclenche que la garantie de la sûreté réelle pour autrui (à savoir la caution hypothécaire), la protection conférée par la notion « d’engagement disproportionné » n’est pas applicable. 

Notez que cette solution est applicable aux garanties consenties avant et après la réforme des sûretés de 2021 !

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Rénovation énergétique : programme pour un DPE fiable

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Pour rappel, les logements consommant plus de 450 kW/m² par an sont interdits à la location depuis janvier 2023. Il en sera de même pour les logements classés G en 2025, F en 2028 et E en 2034. C’est dire si le diagnostic performance énergétique (DPE), qui permet d’obtenir ce classement, va être capital pour les prochaines années ! Outil de mesure pour la rénovation énergétique, le DPE se doit donc d’être clair et fiable, raison pour laquelle le Gouvernement a mis en place une feuille de route. Revue de détails. 

 

DPE : formation des lecteurs…et des diagnostiqueurs ! 

Document de plus en plus important mais faisant encore trop souvent l’objet d’irrégularités, le DPE (diagnostic de performance énergétique) est au cœur des préoccupations du Gouvernement qui veut améliorer sa lisibilité et sa qualité.

Pour cela, 2 documents sont mis à la disposition des lecteurs : 

  • une fiche de préparation du DPE, disponible ici, qui permet au propriétaire de rassembler tous les documents et informations nécessaires au diagnostiqueur afin d’avoir des résultats les plus rigoureux possible ;
  • une notice support du DPE, disponible ici, pour faciliter la lecture du rapport et mettre en avant les informations importantes à lire, les recours possibles et les aides disponibles en cas de travaux à faire.

Ces documents sont destinés autant aux particuliers qu’aux professionnels du secteur immobilier.

Concernant l’élaboration du DPE, l’accent est mis sur la formation des diagnostiqueurs, qui doivent déjà justifier d’une certification préalable. Dans cet optique, une formation en ligne (MOOC) est mise à leur disposition afin de rappeler : 

  • les bonnes pratiques ;
  • les obligations et responsabilités de cette profession ;
  • l’importance du DPE.

La réalisation de cette formation donnera lieu à la délivrance d’une attestation de réussite.

Notez enfin qu’il a été annoncé la modification des règles encadrant la certification des diagnostiqueurs réalisant des DPE d’ici cet été, afin de :

  • renforcer la formation initiale des diagnostiqueurs ;
  • homogénéiser le contenu et les modalités d’examens des organismes de certification ;
  • renforcer le contrôle du travail des diagnostiqueurs ;
  • homogénéiser les pratiques des organismes de certification ;
  • renforcer la formation continue.

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Un partenariat entre l’URSSAF et les impôts pour faciliter les démarches des travailleurs indépendants

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Pour faciliter les démarches administratives des travailleurs indépendants, l’URSSAF Caisse nationale et la Direction générale des finances publiques viennent de signer une convention. L’objectif : proposer un point de contact unique à ces professionnels. Explications.

Un point de contact unique pour les travailleurs indépendants

La Direction générale des finances publiques (DGFIP) et l’URSSAF Caisse nationale viennent de signer une convention de partenariat afin de généraliser l’accueil commun des travailleurs indépendants sur tout le territoire.

Concrètement, les accueils de l’URSSAF se chargeront de certaines des demandes fiscales de ces travailleurs. À ce titre, il est prévu que les agents de l’URSSAF se chargeront de répondre ou d’accompagner les professionnels pour les demandes les plus simples. Ils pourront également :

  • les orienter vers le site Internet des impôts ;
  • prendre des rendez-vous physiques, téléphoniques ou vidéos, pour les demandes les plus complexes.

Pour ce faire, notez qu’un dispositif de formations croisées sera mis en place entre les gestionnaires des impôts et les gestionnaires URSSAF.

Pour finir, retenez que pour les cas spécifiques (traitement des entreprises en difficultés, délais de paiement, etc.), des rendez-vous communs (URSSAF et DGFIP) pourront être proposés aux travailleurs indépendants.

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Fin de la taxe d’habitation : le sort des colocations étudiantes

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Les logements occupés à titre de résidence principale ne sont désormais plus soumis à la taxe d’habitation. Qu’en est-il des colocations étudiantes ?

Colocation étudiante occupée à titre de résidence principale : pas de taxe d’habitation !

La taxe d’habitation applicable aux résidences principales a fait l’objet d’une suppression progressive entre 2018 et 2023.

Toutefois, cette taxe reste applicable aux résidences secondaires, ainsi qu’aux locaux meublés non affectés à la résidence principale.

Qu’en est-il des colocations étudiantes ? Sont-elles toujours soumises à la taxe d’habitation ?

Interrogé sur ce point, le Gouvernement rappelle que les étudiants qui occupent un logement en résidence universitaire gérée par un centre régional des oeuvres universitaires et scolaires (CROUS) ou par un organisme appliquant des conditions financières et d’occupation analogues, bénéficient d’une exonération spécifique de taxe d’habitation, toutes conditions par ailleurs remplies.

Quant aux étudiants qui disposent, de façon privative, d’un logement indépendant du domicile de leurs parents et qui n’est pas géré par le CROUS ou un organisme analogue, ils bénéficient du régime de droit commun applicable aux résidences principales.

Par conséquent, dès l’imposition établie au titre de l’année 2023, ces logements ne seront pas soumis à la taxe d’habitation s’ils sont occupés à titre de résidence principale.

À toutes fins utiles, le Gouvernement indique clairement que cette absence de taxation s’applique indépendamment du rattachement des étudiants au foyer fiscal de leurs parents.

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Prélèvement à la source : plus de lisibilité ?

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Pour accroître la lisibilité des mouvements bancaires relatifs au prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu (IR), le Gouvernement envisage-t-il d’imposer aux établissements bancaires de faire figurer certaines mentions sur les relevés de compte ? Réponse.

Prélèvement à la source : pas de nouvelles mentions sur vos relevés de compte !

Le prélèvement à la source (PAS) de l’impôt sur le revenu peut revêtir 2 formes :

  • une retenue à la source, opérée par le tiers collecteur (employeurs, organismes de retraite, etc.) sur votre salaire, votre pension, etc. ;
  • un acompte, prélevé directement sur votre compte bancaire par l’administration fiscale, lorsque le revenu concerné par le PAS n’est pas versé par un tiers collecteur (revenus fonciers, bénéfices industriels et commerciaux, etc.).

Dans le cadre d’une retenue à la source, votre salaire, par exemple, vous est versé par l’employeur, déduction faite du PAS. Aucun prélèvement n’est donc effectué sur votre compte bancaire.

Si vous êtes soumis au paiement de l’acompte de PAS, les sommes dues sont effectivement prélevées sur votre compte bancaire par l’administration fiscale, sous le libellé « PRELEVEMENT A LA SOURCE REVENUS 202X ».

Un fonctionnement suffisant pour tracer les mouvements bancaires relatifs au PAS, selon le Gouvernement, qui n’envisage aucune modification pour le moment.

Sources :

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Mon Accompagnateur Rénov’ : c’est parti pour l’agrément !

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La rénovation énergétique, notamment des logements, est l’un des thèmes de prédilection actuels du Gouvernement. Dans ce contexte, le dispositif Mon Accompagnateur Rénov’ a été mis en place pour aider les personnes intéressées à bâtir des projets de rénovation adaptés à leurs besoins. Comment devenir Accompagnateur Rénov’ ?

Mon Accompagnateur Rénov’ : un calendrier précis pour les demandes d’agrément

Le dispositif Mon Accompagnateur Rénov’ a été mis en place pour sécuriser les personnes engagées dans des parcours de rénovation ambitieux de leurs logements. 

Il s’agit de tiers de confiance, dont les compétences et la neutralité sont garanties. Les accompagnateurs ont pour mission, comme leur nom l’indique, de proposer aux particuliers un accompagnement en 3 étapes :

  • évaluation de l’état du logement et de la situation du ménage ;
  • réalisation d’un audit énergétique ou présentation de l’audit existant ;
  • préparation et accompagnement pour la réalisation du projet.

Notez que pour certains travaux, la mise en oeuvre de cet accompagnement est obligatoire. 

Les professionnels qui souhaitent intervenir en tant qu’Accompagnateur Rénov’ doivent obtenir un agrément de l’Anah (Agence nationale de l’habitat).

Notez qu’une plateforme Web dédiée aux demandes d’agrément sera mise en ligne le 30 avril 2023. Elle sera accessible via le site France Rénov’.

En fonction de la qualité du candidat à l’agrément, 2 parcours sont prévus.

Les acteurs dits « historiques » du secteur (Espace Conseil France Rénov’ par exemple) pourront déposer leur demande dès le 2 mai 2023, pour obtenir un agrément avant le 1er septembre 2023.

Quant aux nouveaux acteurs, majoritairement privés, ils pourront déposer leurs dossiers sur cette plateforme dès le 1er juillet 2023.

Mon Accompagnateur Rénov’ : c’est parti pour l’agrément ! – © Copyright WebLex

Les chèques énergie fioul et bois jouent les prolongations

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Pour aider les foyers français qui se chauffent principalement au bois ou au fioul à faire face à la crise énergétique, le Gouvernement a mis en place des chèques énergie exceptionnels. Les délais pour déposer vos demandes de chèque viennent d’être prolongés. Jusqu’à quand ?

Demandes de chèques énergie exceptionnels : un mois supplémentaire !

Le chèque énergie exceptionnel « fioul », de même que le chèque énergie « bois » ont été mis en place pour aider les foyers français à faire face à la crise énergétique.

  • Concernant le chèque énergie « fioul »

Les personnes qui remplissent toutes les conditions requises, qui ont déjà bénéficié d’un chèque énergie au titre de l’année 2022 et qui l’ont utilisé pour l’achat de fioul domestique ont normalement déjà reçu automatiquement de la part de l’Agence de services et de paiement (ASP) un chèque énergie exceptionnel « fioul ».

Les personnes non identifiées par l’ASP qui souhaitaient en bénéficier devaient déposer une demande spécifique, sur un portail Web dédié, au plus tard le 31 mars 2023. 

Un délai supplémentaire d’un mois vient d’être accordé par le Gouvernement. Les personnes concernées ont donc jusqu’au 30 avril 2023 pour déposer leur demande.

  • Concernant le chèque énergie « bois »

Quant au chèque énergie « bois », la date limite de dépôt des dossiers de demande, jusqu’à présent fixée au 30 avril 2023, vient d’être repoussée au 31 mai 2023.

Les modalités de dépôt restent inchangées.

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